Energies pour l'Afrique | Un projet de Jean-Louis Borloo

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  • LE PLAN ENERGIES POUR L'AFRIQUE 2025

    ​La volonté des dirigeants africains est totale pour électrifier leur continent. Mais il est nécessaire que soit mis en place un plan organisé, concerté, structuré, autonome et automatique afin de parvenir à l’objectif en 10 ans. C'est l'objet du plan 2025 proposé par Energies pour l'Afrique.

    Une analyse des raisons objectives puis des propositions de solutions a été faite. Energies pour l'Afrique est parti à la rencontre de la plupart des acteurs énergétiques du continent africain, des Ministres de l’énergie, de quasiment tous les chefs d’Etat en exercice chez eux dans leurs capitales, des financeurs publics bilatéraux ou multilatéraux, des agences de développement internationales, des opérateurs privés, des financeurs internationaux, de la communauté concernée, y compris des partenaires indispensables tels que la Commission européenne et le Parlement européen, l'administration Obama et le Congrès américain ainsi que les membres de gouvernement européens.

  • UN FONDS DE SOUTIEN DÉDIÉ A L’ÉLECTRIFICATION EN AFRIQUE (FSEA)


    Le plan à mettre en place doit être celui des pays africains qui affirment indépendamment des aides au développement déjà existantes que l’électrification de l’Afrique constitue une priorité absolue.


    Tout ce qui se mesure s’améliore. On peut compter les progrès accomplis, fixer des étapes, donner des objectifs clairs. Pour les États africains, cette volonté politique doit être affirmée au reste du monde. Elle se traduit par la mise en place d’un organisme dédié à cet objet fondé et dirigé par les États africains eux-mêmes.

    Cet organisme sera exclusivement consacré à l’électrification de l’Afrique avec un compte unique et dans un mode de gouvernance consensuel que les États africains décideront. Il sera à la disposition de chaque État africain pour l’assister à la mise en place de son propre plan d’électrification accéléré. Il sera le réceptacle des financements publics internationaux indispensables à ce plan. Les fonds publics internationaux qui seront identifiés feront l’objet d’une traçabilité.

  • L’INGÉNIERIE ADMINISTRATIVE ET PUBLIQUE

    Ce fonds mettra à la disposition de chaque État l’ingénierie administrative et publique nécessaire pour résoudre l’ensemble des problèmes qui se posent à chaque pays. Fondé et dirigée par les 54 États africains, il aura la capacité politique de négocier les financements publics internationaux et notamment européens. Ce fonds de soutien à l'électrification de l'Afrique mutualisera tous les moyens et diffusera toutes les avancées technologiques et leur fiabilité.

  • LES FINANCEMENTS


    Les financements publics internationaux devront être automatiques, pérennes, additionnels et non conditionnels.


    Sans cette prise de position unanime et ferme des États africains, sans la décision de créer un outil dédié, le multilatéralisme, la dispersion et la confusion entre tous les types de programmes continueront. Sans un tel organisme, la mise en place opérationnelle du financement public international sera défaillante. La preuve en a été faite.

    En décembre 2009 à Copenhague, un financement international de 10 milliards de dollars par an dit fast start, montant à 100 milliards d’ici 2020, avait bien été décidé sans qu’aucune opération concrète n’ait pu encore voir le jour.


    Une récente réunion à Berlin a bien évoqué que 6 ans plus tard un Fond Vert de 9,5 milliards de dollars allait être mis en place mais sans que celui-ci puisse être effectif. La raison principale est qu’il n’y a pas l’outil africain piloté par les africains avec un objet opérationnel parfaitement identifié. Il est à craindre que les prochaines réunions à Paris ou ailleurs ne se traduisent par de nouvelles déclarations avec des chiffres extrêmement élevés mais sans aucune concrétisation en l’absence de l’organisme qui soit le réceptacle de ces financements.

  • ETABLISSEMENT DU PROGRAMME


    La future structure établira en une année le programme indispensable de réparation des équipements de production, de distribution et d’interconnexion. Il devrait permettre avec moins de deux milliards de financements publics d’augmenter la production sur le continent de 40 %.

    Le FSEA (Fonds de Soutien à l'Electrification de l'Afrique) étudiera la mise en place d’une caisse de garantie sur l’ensemble du continent afin de permettre la péréquation et le remboursement éventuel sur la base d’un retour à meilleure fortune des investissements publics.Une banque de données des technologies performantes, une plateforme de benchmarking et d’échanges d’expériences et de collecte des meilleures pratiques ainsi que des succès et des échecs sera établie.

  • UN PROJET PAR LES AFRICAINS ET POUR LES AFRICAINS

    Un outil unique d’électrification de l’Afrique doit être décidé et piloté par l’Afrique, les actions opérationnelles étant ensuite gérées par les États ou les sous-régions.
    Pour électrifier leurs pays, les dirigeants africains doivent pouvoir disposer de garanties additionnelles, pérennes, automatiques et non conditionnelles auxquelles s’ajouteront naturellement les financements privés.
    C’est la base incontournable de tout programme d’électrification. Faute de quoi, les négociations pour financer l’adaptation et le respect du plan climat resteront théoriques.


    C’est le moment d’agir, Energies pour l’Afrique fait appel à toutes les compétences, toutes les bonnes volontés pour faire de l’électrification de l’Afrique, sa priorité.

    De même que le plan Marshall a largement contribué au développement de l’Europe sans l’inféoder aux intérêts américains, le plan Electricité - Objectif 2025 consacrera un partenariat réalisé dans l’intérêt économique et politique de chacun.

  • UNE GRANDE PLAIDOIRIE INTERNATIONALE

    Ce projet, parfaitement réalisable en moins de 10 ans, a fait l’objet d’une grande plaidoirie internationale et l’objet de prises de décisions voire de délibérations, parfaitement claires :
    - La position unanime des 54 chefs d’État africains, le 15 juin 2015 dans le cadre du Sommet de l’Union africaine, sur présentation du Président Macky Sall, Président du NEPAD (Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique)
    - Le vote unanime du Parlement panafricain, organe consultatif de l'Union Africaine, le 7 octobre 2015
    - La signature des 33 Présidents présents au sommet Chine-Afrique à Johannesburg, le 4 décembre 2015
    - L’engagement du gouvernement français de soutenir le plan "Lumière et électricité pour tous"
    - La déclaration de soutien de parlementaires européens
    - Le vote de l’Assemblée Nationale et du Sénat français, le 22 octobre 2015
    - La déclaration du G20
    - Les nouveaux engagements du Millénaire
    - L’inscription de "l’électricité pour tous" comme besoin universel et la nécessité de promouvoir l’énergie durable en particulier en Afrique (texte final de la COP21).

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